La Bretagne : la région la moins couverte en fibre optique en France en 2024 !

La Bretagne : la région la moins couverte en fibre optique en France en 2024 !

Si vous pensiez que la Bretagne, avec ses crêpes gourmandes et ses plages de sable fin, avait tout pour plaire, détrompez-vous. Parce que niveau fibre optique, c’est la cata ! Oui, nous sommes en 2024 et cette belle région est officiellement la région la moins couverte en fibre optique en France. Et ça, mes chers lecteurs de la génération Z, c’est un vrai casse-tête numérique.

La galère du débit en bretagne

Chercher du débit en Bretagne, c’est un peu comme chercher un rayon de soleil en plein hiver breton. On connaît la chanson : « Tiens, je vais checker mes mails. » Déjà 5 minutes que ça charge et toujours rien. Tout ça pour une simple newsletter de votre magazine lifestyle préféré. On a très vite envie de retourner aux bonnes vieilles lettres en papier, vous ne trouvez pas ?

Mais pourquoi donc la Bretagne a-t-elle hérité de cette couronne d’épines numériques ? La réponse est simple : des infrastructures insuffisantes et tardives. Pas de quoi se refaire une beauté, hein. Alors que dans d’autres régions, le déploiement de la fibre avance à grands pas, ici, le progrès traîne des pieds. On n’est pas encore à l’âge de pierre mais ça commence à y ressembler sérieusement.

Pour embarrasser un peu plus la situation, certains coins reculés de la Bretagne ne voient même pas l’ombre d’un technicien. Nous, consommateurs du XXIe siècle, devons nous débrouiller avec des solutions alternatives, souvent coûteuses et pas très écologiques. Pour ceux qui désirent concilier l’utile à l’agréable, pensez à consulter nos 10 gestes écologiques quotidiens pour un mode de vie durable et responsable. Allez, on reste optimistes et on croise les doigts, peut-être qu’on aura la fibre… avant 2050.

Les solutions de repli en attendant la fibre

Face à cette situation, nombreux sont ceux qui ont dû trouver des alternatives. Oui, même nous dans l’équipe de rédaction, on a dû s’y coller. Premier réflexe : se tourner vers les offres 4G et 5G. Bon, d’accord, ce n’est pas optimisé à fond partout en Bretagne, mais ça dépanne. Comme dirait mamie : « ça dépanne à défaut de mieux. »

On a nos petits trucs et astuces pour lorsqu’on est en balade au Mont-Saint-Michel ou à Carnac. Par exemple, l’achat de routeurs 4G/5G. Ces petites bêtes peuvent vraiment sauver une journée de télétravail ou une soirée de binge-watching. Car mettons-nous bien d’accord, ce n’est pas une série Netflix qui nous attend, c’est toute la saison !

Ensuite, il y a les réseaux satellites. Pas donné, c’est sûr, mais quand on est à bout de nerfs à cause d’une connexion qui rame, on est prêt à tout. Elon Musk et son projet Starlink ne sont pas passés inaperçus, même dans nos contrées reculées. Une option certes futuriste mais qui offre du concret quand rien d’autre n’avance.

Nous avons tenté différentes solutions pour rester connectés dans notre magazine lifestyle. Rien de plus frustrant que de travailler en ligne et d’avoir une connexion instable. Nous avons adopté des solutions écologiques dans la mesure du possible, car on aime bien rester cohérents avec notre message sur la préservation de notre planète.

Les initiatives locales pour booster la connexion

On n’est pas du genre à rester les bras croisés en attendant que ça passe. Les Bretons sont connus pour leur caractère bien trempé et leur esprit d’initiative. Si vous avez déjà participé à un fest-noz, vous savez de quoi je parle.

Des associations et collectifs de citoyens ont décidé de prendre le taureau par les cornes. Leur objectif ? Pousser les décideurs à accélérer les travaux. On voit des initiatives de crowdfunding surgir un peu partout. Oui, on peut dire qu’ils ont pris la fibre au pied du mur.

Il y a aussi les entreprises locales qui mettent la main à la pâte. Certaines PME bretonnes, en particulier celles du secteur tech, se sont organisées pour mutualiser les ressources et améliorer les infrastructures locales. Avec des projets comme Breizh Network, des portions de la région commencent à voir le bout du tunnel fibreux.

En parlant d’initiatives locales, nous avons vu une anecdote particulièrement savoureuse qui vaut le détour. Un bourg reculé a réussi à convaincre une entreprise de fibre optique de venir installer le réseau en échange d’un an de crêpes et de cidre gratuits ! Imaginez-vous ça, des techniciens plein de crêpes face à leurs écrans de diagnostic. Qui a dit que la gourmandise n’avait pas du bon ?

Commune Projet Statut
Carhaix Installations mutualisées En cours
Pontivy Collectif citoyen En attente
Vannes Partenariat avec PME Terminé

Comme on dit chez nous, on ne sait jamais, « Y a plus de fibre que dans ton yaourt ! » Un jour ou l’autre, ça finira par passer. Entre-temps, on fait des efforts de tous côtés. Si vous êtes curieux et aimez les initiatives locales, jetez un œil à notre article sur les gestes écologiques quotidiens.

Un avenir prometteur pour la fibre en bretagne ?

Est-il possible de rester optimiste quand on est la lanterne rouge du numérique en 2024 ? La réponse est oui ! La Bretagne a toujours su tirer son épingle du jeu. En matière de fibre optique, le chemin est long mais des progrès significatifs sont à porter de main.

Nous avons entendu des rumeurs, chuchotées à l’oreille comme des secrets de famille, sur de prochains investissements publics. Plus d’un milliard d’euros en jeu pour accélérer le déploiement de la fibre et résorber ce fossé numérique. Cela sonne bien, non ? Mais comme qui dirait, « promesse d’ivrogne, on espère que ce ne sera pas ! »

Ajoutez à cela l’essor des nouveaux câbles sous-marins prévus pour relier la région aux grands réseaux internationaux. C’est comme si on passait de la barque au paquebot en un clin d’œil. Ce ne sont plus des petites vagues mais des tsunamis de données qui arriveront bientôt sur nos plages bretonnes.

Malgré tout, il nous faudra être patients. Et si vous avez des anecdotes de fibre optique ou de connexion wasabi (très forte mais très rare), n’hésitez pas, on adore les histoires croustillantes ! Parce qu’au final, nous, les Global Warming Kids, on aime bien rire de tout, même de notre fibre mollassonne.

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