Finistère : installateurs de fibre optique jugés pour travail dissimulé et emploi d'étrangers sans papiers

Finistère : installateurs de fibre optique jugés pour travail dissimulé et emploi d’étrangers sans papiers

Nous voici en plein cœur du Finistère, où l’on peut se dire que la fibre optique pourrait servir non seulement à nous filer la 5G, mais aussi à tisser des intrigues judiciaires bien croustillantes. Incroyable mais vrai, des installateurs de fibre optique se retrouvent sur le banc des accusés pour « travail dissimulé » et embauche d’étrangers en situation irrégulière. Ça sent la série télé, vous ne trouvez pas ?

Le finistère, épicentre d’un scandale de travail dissimulé

La fibre optique, un sujet ubiquitaire aujourd’hui. Même en Finistère, où on pourrait s’attendre à des histoires plus bucoliques. Vous savez, à la base, c’est pour nous connecter plus vite que Superman. Mais en arrière-guichet, ça dissimule aussi des embrouilles de premier ordre.

Les installateurs de fibre optique dans notre département breton adoré sont accusés de ne pas avoir été très « FSOC » (Full Stay Of Course, un terme qu’ils devraient peut-être connaître) avec les régulations. Disons-le clairement, ils sont dans la panade pour avoir embauché des travailleurs sans papiers, tout en dissimulant du boulot. La totale « fibre polar », quoi !

Nous aimons bien entendre « paye ton abonnement » à chaque pub d’Internet, moins quand il s’agit de juges et d’accusations sérieuses. Pourtant, les installateurs de Finistère se retrouvent pointés du doigt pour ne pas avoir déclaré une bonne partie de leur personnel. Et pas seulement ça, ils ont aussi filé du taf à des étrangers pas très en règle niveau papierterie.

Les installateurs de fibre optique, les magiciens de l’ombre

Vous voyez ces gars un peu comme des magiciens modernes, posant des câbles invisibles pour nous. Sauf que, à ce qu’il paraît, ils se sont un peu trop pris pour Harry Potter version businessman. Non seulement ils installaient des kilomètres de fibre optique, mais ils faisaient aussi disparaître les formalités légales comme par enchantement.

En termes de travail dissimulé, leurs trucs allaient au-delà du basique « taf au black ». Pour eux, c’était une affaire de famille et d’amis. Ils embauchaient des travailleurs étrangers sans papiers, les faisant bosser dans des conditions que même le ministère du Travail n’approuverait pas. Ces derniers, à leur tour, se retrouvaient payés en liquide. Autant dire que la déclaration fiscale devait être une vraie cabane de sorcier.

Le maire de la commune, entre choc et incompréhension

Même le maire de cette petite ville bretonne, dont nous tairons le nom pour respecter sa tranquillité sur Twitter, est resté bouche bée. Lui, qui pensait que les “chicaneries” locales se limitaient aux ragots du marché du mardi matin. Il a quand même dû faire une série de déclarations scandalisées que la presse régionale s’est empressée de publier.

Est-ce que ça tâche aussi son mandat ? Certainement. Pour un maire qui a fait campagne sur l’emploi local et la régulation stricte, ça la fout mal. Une chose qui pourrait mener à une perte de crédibilité politique, comme une goutte d’eau dans la fibre optique.

Présentez vos papiers…oups, vos câbles

Soyons honnêtes, personne ne s’attend à ce que l’installateur de fibre qui passe par là ait inventé le vaccin contre la COVID-19. Mais bon, on s’attend à ce qu’il soit un minimum réglo. Les contrôles n’ayant rien de très sorcier, une déclaration aurait suffi pour lever le voile sur cette machination.

Travail dissimulé : ce terme sonne comme une comptine sinistre dans la salle du tribunal. Peut-être le plus délirant, c’est que tout ce micmac a été découvert lors d’un simple contrôle de routine. Imaginez, tout roule et boum ! Des inspecteurs du travail débarquent et déterrent des montagnes de paperasses non déclarées.

La dissimulation concernait des volumes impressionnants de travail. Cela exclut toute plausibilité d’une simple erreur administrative. Les inspecteurs ont par ailleurs mentionné que certains des travailleurs étaient sur les chantiers depuis plus de deux ans, sans aucune trace officielle de leur emploi.

La justice finistérienne s’active

Dans cette petite cour de justice locale, l’ambiance serait presque festive si elle n’était pas aussi tendue. D’un côté, les installateurs accusés, de l’autre côté, la justice et les plaignants. C’est du David contre Goliath version fibre optique.

Les procureurs ont présenté un dossier étoffé comme un mentorico en confiture. Les preuves s’alignent, les témoignages pleuvent. Les installateurs, eux, se défendent bec et ongles. À les entendre, c’est une simple mésentente administrative. Pour les procureurs, c’est du grand art de dissimulation. Le juge est en pleine concentration, comme s’il devait départager deux versions de la réalité.

Un brin ironique pour un magazine lifestyle (clin d’œil à Global Warming Kids), mais force est de constater que les cours de justice ne manquent pas de rythme. L’arène juridique est en ébullition et les anticipations sont à leur comble.

Les conséquences possibles

Les installateurs risquent non seulement des amendes faramineuses mais aussi des peines de prison. Une situation que personne n’envie, et surtout qui pourrait jeter un froid sur l’industrie de la fibre locale. Les membres de l’entreprise se disent prêts à tout pour éviter le pire, mais est-ce que « tout » inclut des aveux complets ou des tentatives désespérées pour contrecarrer les accusations ?

Action Sanction Possible
Travail dissimulé Jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende
Emploi d’étrangers non déclarés 5000 € d’amende par employé en situation irrégulière
Non-respect des normes d’emploi Retrait de licences professionnelles

La saga continue et la suite promet d’être aussi électrisante qu’un câble en fibre optique fraîchement branché. Finistère, nous voici accrochés à tes nouvelles judiciaires avec autant d’attention que nos box à notre réseau local. Stay tuned !

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